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L'art du portrait-hommage ici offert à Ornella Ballestra, constate le désastre italien, et provoque le chahut.

Le théâtre de l’Unité, compagnie hors normes,  a toujours aimé bousculer le rapport de la scène et de la salle.

La brièveté de la forme aiguise ici les qualités d'intention insufflées par le geste, et là, stimule le débat vivant autour de l'écriture inclusive.

« Rien ne cesse, rien ne naît, les morts ne sont pas morts, les vivants s’imaginent vivre » - Jean Cocteau.

Etrange combinaison de deux pièces opposées en tout : l'une aux limites du cynisme, l'autre au service d'une éthique de la rencontre.

Une composition à la taille de la Cour d'honneur, portée au comble de la maîtrise. Egalement une interpellation politique ...

Deux prodiges du Tanztheater croisent leurs univers respectifs avec celui de Pina Bausch et des interprètes...

Le petit festival de danse contemporaine à Kristiansand étonne par son esprit et sa direction collective.

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L'art du portrait-hommage ici offert à Ornella Ballestra, constate le désastre italien, et provoque le chahut.

Le théâtre de l’Unité, compagnie hors normes,  a toujours aimé bousculer le rapport de la scène et de la salle.

La brièveté de la forme aiguise ici les qualités d'intention insufflées par le geste, et là, stimule le débat vivant autour de l'écriture inclusive.

« Rien ne cesse, rien ne naît, les morts ne sont pas morts, les vivants s’imaginent vivre » - Jean Cocteau.

Etrange combinaison de deux pièces opposées en tout : l'une aux limites du cynisme, l'autre au service d'une éthique de la rencontre.

Une composition à la taille de la Cour d'honneur, portée au comble de la maîtrise. Egalement une interpellation politique ...

Deux prodiges du Tanztheater croisent leurs univers respectifs avec celui de Pina Bausch et des interprètes...

Le petit festival de danse contemporaine à Kristiansand étonne par son esprit et sa direction collective.

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