dansercanalhistorique |

La Saison 2024/25 au Pavillon Noir

Créations, jeunesse et dialogues avec le monde au CCN d’Aix-en-Provence : Preljocaj, Shechter, Doherty, Belaza…

Une saison à la Maison

« On achève bien les anges» de Bartabas

Le nouveau spectacle de Zingaro arrive à Aubervilliers, dans le célèbre théâtre en bois de la compagnie.

Kublilaï Khan Investigations : « Bien sûr les choses tournent mal »

Une pièce étonnante présentée au CDC - Atelier de Paris - Carolyn Carlson qui raconte notre présent au futur.

Jonah Bokaer : « Other Myths »

Jonah Bokaer, ouvrait avec cette pièce La FIAC Hors-les-Murs. Le chorégraphe est par ailleurs en résidence à La Briqueterie CDC du Val-de-Marne jusqu'à fin octobre...

Mathias Dou/Vincent Lacoste : « Les Corps Mous #1 »

Réflexion sur notre rapport à la rigidité et la puissance, ce solo travaille un corps masculin, apparemment sans volonté propre

Pages

« Grand Finale » de Hofesh Shechter

Dans cette pièce monumentale pour dix danseurs et six musiciens, Shechter parle de mort et de terreur, par une danse qui fête la vie.

June Events : « Opium » par La Zampa

Enfin à Paris : La Zampa ont investi le Centquatre avec leur cabaret post-punk, chanté et dansé.

« Le Prince de bois » de Pál Frenák

C’est dans le splendide opéra de Budapest que Pál Frenák a présenté sa nouvelle création, Le Prince de Bois, composé en 1914/16 sur un argument de Béla Balázs.

Pages

3 questions à ... La Yerbabuena

Pourquoi chorégraphiez-vous ? Je sors d’une famille très humble. Mon père était maçon, ma mère coiffeuse.

Pages

« Grand Finale » de Hofesh Shechter

Dans cette pièce monumentale pour dix danseurs et six musiciens, Shechter parle de mort et de terreur, par une danse qui fête la vie.

June Events : « Opium » par La Zampa

Enfin à Paris : La Zampa ont investi le Centquatre avec leur cabaret post-punk, chanté et dansé.

« Le Prince de bois » de Pál Frenák

C’est dans le splendide opéra de Budapest que Pál Frenák a présenté sa nouvelle création, Le Prince de Bois, composé en 1914/16 sur un argument de Béla Balázs.