Une 43e édition exceptionnelle jette un pont entre œuvres d’hier et d’aujourd’hui pour réfléchir à notre présent chorégraphique.
La distanciation sociale met en avant un nouveau regard sur l’espace dansé, car il a de vrais atouts à jouer dans le monde numérique.
Un duo intime et magnétique incarnant une résistance silencieuse où la musique et la danse ne font plus qu’un.
À Biarritz, des ensembles de danseuses étaient réunis sous la pluie, sous des perruques ou dans l’histoire.
Aux Abbesses, l’exceptionnel spectacle d’Israel Galván avec Ilona Astoul.
Une cérémonie puissante en chants mapuche et post-flamenco, rend hommage aux victimes d’un état meurtrier.
Un duo au sommet, dadaïste et surréel, où le flamenco rajeunit en prenant un siècle d’âge et de maturité.
Dans une rencontre au sommet, le bailaor et la reine du grotesque rient d’eux-mêmes, du jeu de séduction et bien sûr du flamenco.
Le Sévillan réinvente sa performance solo, en dialogue avec les sonates de Scarlatti et la Chapelle de la Salpêtrière.
Le finissage de la 30eédition du festival flamenco de Nîmes nous a régalé avec ce qui se fait de mieux en matière de cante, de toque et de baile.