Au cours de l'année scolaire 2011-2012, six étudiants de dernière année de P.A.R.T.S sous la direction de Mark Lorimer et Moya Lichael ont travaillé la matière originale de Zeitung (créé en 2008 au Théâtre de la Ville) sous les angles de la composition
La performance n’est pas un genre, elle est trans ! Elle met le corps en situation de transition, voire de transformation. Faute de se glisser dans un personnage, le performers risque sa propre peau.
Andrea Sitter, Max, Sarah et leurs « Obstinés lambeaux d’images » à découvrir lors d'une reprise exceptionnelle le 18 octobre au Théâtre Paul Eluard de Choisy-le-Roi.
Ça frappe fort dès le début, c’est assourdissant, tel un cocktail mortel. D’un revers de main, Rothbart fait surgir des trainées de poudre, des embrasements lumineux et des tempêtes sonores.
Dans les bandes de mecs, les vrais, on se tape gaillardement sur l'épaule, d'un grand mouvement comme ça, et on se tient un instant par le cou, bras dessus bras dessous.
Au cours de l'année scolaire 2011-2012, six étudiants de dernière année de P.A.R.T.S sous la direction de Mark Lorimer et Moya Lichael ont travaillé la matière originale de Zeitung (créé en 2008 au Théâtre de la Ville) sous les angles de la composition
La performance n’est pas un genre, elle est trans ! Elle met le corps en situation de transition, voire de transformation. Faute de se glisser dans un personnage, le performers risque sa propre peau.
Andrea Sitter, Max, Sarah et leurs « Obstinés lambeaux d’images » à découvrir lors d'une reprise exceptionnelle le 18 octobre au Théâtre Paul Eluard de Choisy-le-Roi.
Ça frappe fort dès le début, c’est assourdissant, tel un cocktail mortel. D’un revers de main, Rothbart fait surgir des trainées de poudre, des embrasements lumineux et des tempêtes sonores.
Dans les bandes de mecs, les vrais, on se tape gaillardement sur l'épaule, d'un grand mouvement comme ça, et on se tient un instant par le cou, bras dessus bras dessous.
