Le Théâtre national de la Danse invite, sous l’égide de Rachid Ouramdane, à la fête et au voyage.
Rebaptisée Salon Musical, cette soirée confiée aux jeunes chorégraphes, jeunes danseurs et jeunes instrumentistes maison a été une belle surprise.
Badke commence dans le noir et dans le silence. On entend des pas qui frottent, des martèlements, des déplacements, des rythmes émergent, des voix.
Lux Tenebrae de Bernardo Montet, le troisième volet d’un triptyque basé sur la notion du vulnérable.
Dernière création de John Neumeier pour le Ballet de l'Opéra de Paris, ce Chant de la terre s'avère plutôt décevant.
Fuir, chercher, renaitre, vivre, se réfugier… tant de thèmes abordés dans une course qui se renouvelle à l’infini.
Cette époustouflante création entremêle les genres sur deux œuvres majeures de Mozart.
Un solo de Robyn Orlin pour une incroyable bête de scène de Johannesburg. Jusqu'au 12 novembre au Théâtre de la Bastille.
