Aux Rencontres Chorégraphiques, le deuil comme principe actif dans l’exaltante confusion des émotions.
De Vivaldi au pow wow, du ciment artistique qui coule de source.
Un doublé réussi pour les deux créations de chorégraphes qui savent nouer les récits à la danse.
Deux talentueuses chorégraphes, toutes deux artistes associées au TLA, et invitées aux Rencontres, partageaient une même soirée.
Le Ballet de l’Opéra national du Rhin, présentait un triple programme aux propositions variées.
Ce solo pour Jazz Barbé créé à June Events révèle et déploie ce que dégage exclusivement un individu,
À l'Opéra de Paris, la danseuse étoile a choisi de faire ses Adieux dans Giselle. Une soirée exceptionnelle.
Mamela Nyamza ouvre en beauté les Rencontres Chorégraphiques internationales de Seine-Saint-Denis, avec une pièce engagée.
L’artiste colombienne Andrea Peña, qui a fondé sa compagnie à Montréal, interroge nos relations complexes avec le jeu du paraître au quotidien.
Sweet Mambo pose la question de danser un répertoire face à l’épreuve du temps