Du geste à la narration et même à la construction de la pièce, Noé Soulier nous invite à un jeu d’illusions.
Pour conclure son premier gala Plus plus en beauté, le Ballet nancéien nous a offert une création de Thomas Hauert.
Cette histoire destinée au jeune public et à notre part enfantine nous touche parce qu’elle est faite de paysages et de danse pure.
Une nouvelle génération de danseurs s’approprie le matériau chorégraphique de Zeitung, créé il y a dix ans.
Et si, pour une fois, le public avait raison ?
La troupe d’artistes-paysans malgaches s’est produite pour la première fois en France au Musée du Quai Branly.
Une éblouissante réinvention de soi à travers genres et reflets d'un répertoire diffracté.
Ils sont trois sur scène et démontrent que les anges savent danser et chanter en pleine harmonie dans la fragilité des nuages.