Une édition dense, plurielle et résolument tournée vers le monde entre héritages, audaces et dialogues.
Signe du destin ou fait du hasard? En tout cas, rarement une affiche aura autant tenu ses promesses : celle qui annonçait le « Noureev & friends »
Si iTMOi (In the mind of Igor) s’inscrit dans les commémorations du centenaire du « Sacre du printemps »,
La blancheur des corps irradiés Carlotta Ikeda et Ko Murobushi mettent le butô sur la voie du nucléaire
Renée en botaniste dans les plans hyperboles Karl Biscuit et Marcia Barcellos ont encore frappé. L’imagination. Avec ce nouvel OPNI (objet poétique non identifié)
Une très libre interprétation de Jean-Sébastien Bach fait apprécier autant la complexité d'écriture du directeur du Ballet de Marseille.
Paulo Ribeiro danse un solo inspiré d’Ingmar Bergman, extraordinairement dépouillé et riche en émotions.
Dans son premier solo, Pieter Ampe défie nos rêves identitaires, au théâtre de la Bastille.