Ça frappe fort dès le début, c’est assourdissant, tel un cocktail mortel. D’un revers de main, Rothbart fait surgir des trainées de poudre, des embrasements lumineux et des tempêtes sonores.
Dans les bandes de mecs, les vrais, on se tape gaillardement sur l'épaule, d'un grand mouvement comme ça, et on se tient un instant par le cou, bras dessus bras dessous.
Ça frappe fort dès le début, c’est assourdissant, tel un cocktail mortel. D’un revers de main, Rothbart fait surgir des trainées de poudre, des embrasements lumineux et des tempêtes sonores.
Dans les bandes de mecs, les vrais, on se tape gaillardement sur l'épaule, d'un grand mouvement comme ça, et on se tient un instant par le cou, bras dessus bras dessous.