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Fascinante clôture de la 22Biennale de danse du Val-de-Marne.

Petter Jacobsson confie la soirée à deux chorégraphes invités, la franco-américaine Michèle Murray et l’australien Adam Linder.

Parler, danser, fêter, pleurer… ensemble. Et créer. Eloge de la diversité par douze individus remarquablement soudés. 

Le chorégraphe présentait à Vanves, dans le cadre du festival Artdanthé, une création radicale et qui demandait beaucoup des interprètes.

Anna-Marija Adomaityte creuse à l’intérieur des gestes, des corps et des âmes par une danse répétitive au bord de la faille. 

L’art de feindre surprenant, intelligent, fascinant et poétique.

SonTrio à la Biennale du Val-de-Marne était un délice, suivi d’un étourdissant retour à Mexico City. 

Deux filles des quartiers d’Abidjan s’emparent de la scène avec fougue et insolence, autour d’une boule de pâte blanche. 

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Fascinante clôture de la 22Biennale de danse du Val-de-Marne.

Petter Jacobsson confie la soirée à deux chorégraphes invités, la franco-américaine Michèle Murray et l’australien Adam Linder.

Parler, danser, fêter, pleurer… ensemble. Et créer. Eloge de la diversité par douze individus remarquablement soudés. 

Le chorégraphe présentait à Vanves, dans le cadre du festival Artdanthé, une création radicale et qui demandait beaucoup des interprètes.

Anna-Marija Adomaityte creuse à l’intérieur des gestes, des corps et des âmes par une danse répétitive au bord de la faille. 

L’art de feindre surprenant, intelligent, fascinant et poétique.

SonTrio à la Biennale du Val-de-Marne était un délice, suivi d’un étourdissant retour à Mexico City. 

Deux filles des quartiers d’Abidjan s’emparent de la scène avec fougue et insolence, autour d’une boule de pâte blanche. 

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