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Le Ballet de l'Ouest parisien a conclu sa saison par un gala à base de huit pièces essentiellement néoclassiques.

Emmanuelle Laborit enchante et chansigne au festival Mimos, en ajoutant un morceau inédit à son récital gestuel et musical.

À Avignon, sept danseuses passent à l'assaut des assignations de genre.

L'art du portrait-hommage ici offert à Ornella Ballestra, constate le désastre italien, et provoque le chahut.

Le théâtre de l’Unité, compagnie hors normes,  a toujours aimé bousculer le rapport de la scène et de la salle.

La brièveté de la forme aiguise ici les qualités d'intention insufflées par le geste, et là, stimule le débat vivant autour de l'écriture inclusive.

« Rien ne cesse, rien ne naît, les morts ne sont pas morts, les vivants s’imaginent vivre » - Jean Cocteau.

Etrange combinaison de deux pièces opposées en tout : l'une aux limites du cynisme, l'autre au service d'une éthique de la rencontre.

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Le Ballet de l'Ouest parisien a conclu sa saison par un gala à base de huit pièces essentiellement néoclassiques.

Emmanuelle Laborit enchante et chansigne au festival Mimos, en ajoutant un morceau inédit à son récital gestuel et musical.

À Avignon, sept danseuses passent à l'assaut des assignations de genre.

L'art du portrait-hommage ici offert à Ornella Ballestra, constate le désastre italien, et provoque le chahut.

Le théâtre de l’Unité, compagnie hors normes,  a toujours aimé bousculer le rapport de la scène et de la salle.

La brièveté de la forme aiguise ici les qualités d'intention insufflées par le geste, et là, stimule le débat vivant autour de l'écriture inclusive.

« Rien ne cesse, rien ne naît, les morts ne sont pas morts, les vivants s’imaginent vivre » - Jean Cocteau.

Etrange combinaison de deux pièces opposées en tout : l'une aux limites du cynisme, l'autre au service d'une éthique de la rencontre.

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