Une saison qui vient de s'achever sans bouleversement, une autre qui commence sans heurt… L'air de rien, un peu de tranquillité ne nuit pas, d'autant que c'est l'occasion de vérifier qu'il se passe toujours quelque chose à la Maison de la danse de Lyon.
Créé le 12 novembre, en ouverture du festival Instances à Chalon-sur-Saône, Di Grazia, d’Alexandre Roccoli, est une pièce où le corps dans tous ses états tient une place centrale.