Savante, étourdissante, non sans retour aux fondamentaux, la composition de Noé Soulier affranchit l'exposition du mouvement, de ses charges d'intentions.
Pourquoi chorégraphiez-vous ? Depuis trente ans le corps humain et le corps animal ont toujours été sujet et objet dans mon œuvre plastique et dans mon œuvre théâtrale.