Savante, étourdissante, non sans retour aux fondamentaux, la composition de Noé Soulier affranchit l'exposition du mouvement, de ses charges d'intentions.
C’est dans le splendide opéra de Budapest que Pál Frenák a présenté sa nouvelle création, Le Prince de Bois, composé en 1914/16 sur un argument de Béla Balázs.
Pourquoi chorégraphiez-vous ? Depuis trente ans le corps humain et le corps animal ont toujours été sujet et objet dans mon œuvre plastique et dans mon œuvre théâtrale.
C’est dans le splendide opéra de Budapest que Pál Frenák a présenté sa nouvelle création, Le Prince de Bois, composé en 1914/16 sur un argument de Béla Balázs.