Résurrections, défi des normes et grands ensembles : La Seine-Saint-Denis conquise par la danse.
Solaris, planète imaginaire, n’est qu’intelligence et lumière. Et mystère. Pour la première fois, cette métaphore de l’immatériel et de l’inconscient atterrit sur un plateau de théâtre.
La parole et le regard cardinaux de la critique Lise Brunel inspirent un travail d'exploration archivistique passionnant – et une traduction
Los Pájaros Muertos (Les oiseaux morts) de Marcos Morau ouvraient cette 18e Biennale de la danse du Val-de-Marne.
Rebaptisée Salon Musical, cette soirée confiée aux jeunes chorégraphes, jeunes danseurs et jeunes instrumentistes maison a été une belle surprise.
La chorégraphe met directement en scène sa relation avec son fils, âgé de 6 ans ; et refait de l'interprétation le sujet d'un grand trouble.
Délicieuse création de la compagnie Yma à l’Atelier de Paris, Carolyn Carlson.
Jonglage chorégraphique, orchestre et chanteuse lyrique : La complexité de La Constellation des cigognes.