Tous les jours une nouvelle image rend compte des créations de Montpellier Danse. Aujourd'hui, takemehome de Dimitri Chamblas et Kim Gordon à l'Agora de la Danse.
La parole et le regard cardinaux de la critique Lise Brunel inspirent un travail d'exploration archivistique passionnant – et une traduction
Los Pájaros Muertos (Les oiseaux morts) de Marcos Morau ouvraient cette 18e Biennale de la danse du Val-de-Marne.
Rebaptisée Salon Musical, cette soirée confiée aux jeunes chorégraphes, jeunes danseurs et jeunes instrumentistes maison a été une belle surprise.
Badke commence dans le noir et dans le silence. On entend des pas qui frottent, des martèlements, des déplacements, des rythmes émergent, des voix.
Hors théâtre et nuitamment, un commando de six danseurs agrippe avec force les inquiétudes d'une époque de plomb.
Les acrobates Matthieu Gary et Sidney Pin questionnent le risque avec un spectacle uniquement dédié à la chute.
Josette Baïz remonte son succès de 2001, dans un esprit ludique et apaisé, fluide et sans barre oblique.
