Le Théâtre national de la Danse invite, sous l’égide de Rachid Ouramdane, à la fête et au voyage.
Non, Le Sacre du printemps de Romeo Castellucci n’est pas une énième version du ballet culte de Nijinski et Stravinsky.
Le Casse-Noisette de Noureev retrouve de la fraîcheur grâce à celle des jeunes interprètes.