Prix de Lausanne : Cinq questions à Kevin O’Hare
Directeur depuis 2012 du Royal Ballet à Londres, Kevin O’Hare est cette année le président du jury 45e Prix de Lausanne.
Danser Canal Historique : Pourquoi avoir accepté de présider le jury du Prix de Lausanne 2017 ?
Kevin O’Hare : Cela fait déjà longtemps que j’admire ce Prix, pour le travail qu’il accomplit en faveur de la danse et la promotion des jeunes talents.
DCH : Quelle place occupe selon vous ce prix par rapport à d’autres concours internationaux ?
Kevin O’Hare : Je considère le Prix de Lausanne comme l’un des principaux concours de danse. Il suffit de regarder qui ont été jusqu’ici les lauréats pour constater combien le niveau de cette compétition a toujours été très élevé, et continue à l’être.
DCH : Avez-vous vous-même passé des concours au début de votre carrière ?
Kevin O’Hare : Non… mais en tant que professionnel, j’ai dansé lors de la Finale du Prix !
DCH : La Royal Ballet School est en général plébiscitée par les lauréats des bourses d’études du Prix de Lausanne. A quoi tient son pouvoir d’attraction ?
Kevin O’Hare : Je crois que la RBS est l’une des meilleures écoles de ballet au monde. Non seulement elle produit d’excellents danseurs, mais elle forme des jeunes élèves extrêmement motivés.
DCH : Pour remporter le Prix de Lausanne, quelles sont les qualités requises ?
Kevin O’Hare : Pour moi, le plus important est de danser avec passion et d’être en communication avec le public !
Propos recueillis par Isabelle Calabre
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