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Le chorégraphe brésiien invente une danse du tumulte et de la transformation qui interroge les rapports de classe via l’histoire de la danse dans une création aux allures de fête.

Au CCN de Tours, Derrière Vaval, pleurs, cornes et fwèt, une création de Thomas Lebrun.

Un premier solo d'une jeune chorégraphe qui surprend  par sa  maturité et sa maîtrise de la composition.

L’Opéra de Paris présentait subtilement les axes de sa « constitution », répertoire, formation, ouverture.

Dans un solo subjuguant, la doyenne a fait renaître Joséphine Baker au Théâtre des Champs-Elysées.

Au festival Excentriques, La Briqueterie a su se mouiller à fond, grâce à un duo tout en fluo.

Un ballet de tissus qui se déroule(nt) sans accroc, pour se transformer en un théâtre d'objets en soi(e).

La dernière semaine riche et diversifiée du 35e Temps d’Aimer la danse.

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Le chorégraphe brésiien invente une danse du tumulte et de la transformation qui interroge les rapports de classe via l’histoire de la danse dans une création aux allures de fête.

Au CCN de Tours, Derrière Vaval, pleurs, cornes et fwèt, une création de Thomas Lebrun.

Un premier solo d'une jeune chorégraphe qui surprend  par sa  maturité et sa maîtrise de la composition.

L’Opéra de Paris présentait subtilement les axes de sa « constitution », répertoire, formation, ouverture.

Dans un solo subjuguant, la doyenne a fait renaître Joséphine Baker au Théâtre des Champs-Elysées.

Au festival Excentriques, La Briqueterie a su se mouiller à fond, grâce à un duo tout en fluo.

Un ballet de tissus qui se déroule(nt) sans accroc, pour se transformer en un théâtre d'objets en soi(e).

La dernière semaine riche et diversifiée du 35e Temps d’Aimer la danse.

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