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De la création à Biarritz au festival Cadences d’Arcachon, la Cie Auguste-Bienvenue questionne les identités de nos genres. 

La création de Xenia Wiest vs. la danse basque de Bilaka : Au Temps d’Aimer, deux suspensions de la fin du monde.  

Le formidable premier week-end du Festival a réservé de nombreuses surprises. 

Le Sévillan réinvente sa performance solo, en dialogue avec les sonates de Scarlatti et la Chapelle de la Salpêtrière. 

Sharon Eyal et Gai Behar inventent de nouveaux « fragments d’un discours amoureux ». A voir au Théâtre de Chaillot.

Il fallait bien que cette pièce inspirée de Nijinski atterrisse à Paris qui a vu naître l’originale, en 1913. 

Paris l’été a présenté à La Villette la pièce de Miet Warlop, After all Springville qui s’inscrit dans une forme de théâtre visuel empreint de surréalisme. 

Pièce épique et sombrement joyeuse, 2019 qui devait venir depuis deux ans au festival Montpellier Danse a fini par y arriver.

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De la création à Biarritz au festival Cadences d’Arcachon, la Cie Auguste-Bienvenue questionne les identités de nos genres. 

La création de Xenia Wiest vs. la danse basque de Bilaka : Au Temps d’Aimer, deux suspensions de la fin du monde.  

Le formidable premier week-end du Festival a réservé de nombreuses surprises. 

Le Sévillan réinvente sa performance solo, en dialogue avec les sonates de Scarlatti et la Chapelle de la Salpêtrière. 

Sharon Eyal et Gai Behar inventent de nouveaux « fragments d’un discours amoureux ». A voir au Théâtre de Chaillot.

Il fallait bien que cette pièce inspirée de Nijinski atterrisse à Paris qui a vu naître l’originale, en 1913. 

Paris l’été a présenté à La Villette la pièce de Miet Warlop, After all Springville qui s’inscrit dans une forme de théâtre visuel empreint de surréalisme. 

Pièce épique et sombrement joyeuse, 2019 qui devait venir depuis deux ans au festival Montpellier Danse a fini par y arriver.

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