A travers la figure de Giselle, le musicien et chorégraphe Aurélien Richard met en scène les coulisses du Ballet.
L’Enfer c’est les autres, disait Jean-Paul Sartre dans Huis Clos. Pour Aurélien Richard, c’est d’abord et surtout le corps de l’autre.
La mort nous appelle aux limites. Une pièce néo-expressionniste cultive ce glissement permanent.