Pol Jimenez et Andrea Givanovitch - Poly-faunies au Générateur.
Eszter Salamon propose une œuvre somptueuse, hallucinante, et réellement « monumentale.
Un duo qui a du chien. Pour en découdre avec les coqs toxiques, en passant par le ventre.
Trois clowns chorégraphiques, pris dans le vertige de la valse. Et tant pis si autour d'eux tout s'effondre...
À la Biennale du Val-de-Marne, un autre flamenco est possible. Deux femmes semblent rêver leur dialogue, brut de décoffrage.
Le chorégraphe qui vient de créer sa nouvelle compagnie, Ligne Sauvage , nous offre ici un quatuor enjoué qui interroge les origines de la subjectivité.
À partir des « katas », issus des arts martiaux, Anna Chirescu compose un solo très personnel.
Fabrice Lambert donne vie au mouvement primordial de l’océan grâce à une chorégraphie audacieuse.
Regards décalés sur la félicité, ou comment déconstruire un icosaèdre* qui n’a jamais vu le jour.
Lucinda Childs, icône de la post-modern dance, propose une série de quatre nouvelles pièces courtes, dont un solo dansé par la chorégraphe elle-même
