Une exposition pour interroger l’art brut et le langage du corps.
Entre expressionnisme années 30, mime et films muets, un Nijinsky relu par le chorégraphe allemand Marco Goecke.
En l’espace d’une semaine, on a pu voir à Paris deux hommages à Nijinski et aux Ballets russes, l’un à la Fondation Louis Vuitton et l’autre à la Philarmonie de Paris.