En assistant à l’Opéra Garnier, samedi 1er juillet, à la première de La Sylphide, on était aussi sans le savoir convié à un sacre : celui d’Hugo Marchand.
Pourquoi chorégraphiez-vous ? Depuis trente ans le corps humain et le corps animal ont toujours été sujet et objet dans mon œuvre plastique et dans mon œuvre théâtrale.
En assistant à l’Opéra Garnier, samedi 1er juillet, à la première de La Sylphide, on était aussi sans le savoir convié à un sacre : celui d’Hugo Marchand.